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    1
    Mardi 30 Novembre 1999 à 00:00
    Bonsoir
    un petit clic sur mon ?cran
    et je me retrouve ici avec toi,
    la distance n'existe pas et qu'importe le jour et l'heure
    si tu n'y es pas il y a quand m?me un petit mot pour toi
    je te souhaite une bonne soir?e
    suivie d une excellente nuit remplie de merveilleux r?ves
    a demain....

    Gros bisous de ton amie Christine
    2
    Mardi 30 Novembre 1999 à 00:00
    bonsoir
    bonne soir?e
    douce nuit a demain
    bisous
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    3
    Mardi 30 Novembre 1999 à 00:00
    Chagrin
    Pierre Corneille
    Usez moins avec moi du droit de tout charmer ;
    Vous me perdrez bient?t si vous n’y prenez garde.
    J’aime bien a vous voir, quoi qu’enfin j’y hasarde ;
    Mais je n’aime pas bien qu’on me force d’aimer.

    Cependant mon repos a de quoi s’alarmer ;
    Je sens je ne sais quoi d?s que je vous regarde ;
    Je souffre avec chagrin tout ce qui m’en retarde,
    Et c’est d?j? sans doute un peu plus qu’estimer.

    Ne vous y trompez pas, l’honneur de ma d?faite
    N’assure point d’esclave ? la main qui l’a faite,
    Je sais l’art d’?chapper aux charmes les plus forts,

    Et quand ils m’ont r?duit ? ne plus me d?fendre,
    Savez-vous, belle Iris, ce que je fais alors ?
    Je m’enfuis de peur de me rendre.
    4
    Mardi 30 Novembre 1999 à 00:00
    Si je tr?passe entre tes bras, Madame
    Pierre de Ronsard
    Si je tr?passe entre tes bras, Madame,
    Il me suffit, car je ne veux avoir
    Plus grand honneur, sinon que de me voir
    En te baisant, dans ton sein rendre l’?me.

    Celui que Mars horriblement enflamme
    Aille ? la guerre, et manque de pouvoir,
    Et jeune d’ans, s’?batte ? recevoir
    En sa poitrine une Espagnole lame ;

    Mais moi, plus froid, je ne requiers, sinon
    Apr?s cent ans, sans gloire, et sans renom,
    Mourir oisif en ton giron, Cassandre.

    Car je me trompe, ou c’est plus de bonheur,
    Mourir ainsi, que d’avoir tout l’honneur,
    Pour vivre peu, d’un guerrier Alexandre.
    5
    Mardi 30 Novembre 1999 à 00:00
    Bonsoir
    J'ai trac? un long chemin pour venir vers toi
    Et d?poser un petit mot pour te souhaiter
    Une bonne soir?e ainsi q une douce nuit
    Gros bisous
    6
    Mardi 30 Novembre 1999 à 00:00
    Si je tr?passe entre tes bras, Madame
    Pierre de Ronsard
    Si je tr?passe entre tes bras, Madame,
    Il me suffit, car je ne veux avoir
    Plus grand honneur, sinon que de me voir
    En te baisant, dans ton sein rendre l’?me.

    Celui que Mars horriblement enflamme
    Aille ? la guerre, et manque de pouvoir,
    Et jeune d’ans, s’?batte ? recevoir
    En sa poitrine une Espagnole lame ;

    Mais moi, plus froid, je ne requiers, sinon
    Apr?s cent ans, sans gloire, et sans renom,
    Mourir oisif en ton giron, Cassandre.

    Car je me trompe, ou c’est plus de bonheur,
    Mourir ainsi, que d’avoir tout l’honneur,
    Pour vivre peu, d’un guerrier Alexandre.
    7
    Mardi 30 Novembre 1999 à 00:00
    Bonsoir
    L'amiti? c'est comme un sourire de lumi?re
    L'amiti? vient du c?ur
    Comme la chaleur vient du soleil
    L'amiti? est une caresse
    Comme les amis un r?confort
    L'amiti? se cultive
    Comme les fleurs pour la r?colte
    L'amiti? doit venir de la tendresse
    Comme les amis de la gentillesse
    L'amiti? est chaleureuse
    Comme les g?teaux quand ils sortent du four
    L'amiti? se m?rite
    Comme toutes les choses pr?cieuses de la vie
    C'est avec ce joli texte que je viens vers toi
    Te souhaiter une bonne fin de journ?e
    Ainsi qu une bonne soir?e
    suivie d une excellente nuit
    peupl?e de merveilleux r?ves
    Gros bisous de ton amie Christine ♥
    A demain......
    8
    Mardi 30 Novembre 1999 à 00:00
    Quoy mon ame, dors tu engourdie en ta masse
    Pierre de Ronsard
    Quoy mon ame, dors tu engourdie en ta masse ?
    La trompette a sonn?, serre bagage, et va
    Le chemin desert? que Jesuchrist trouva,
    Quand tout mouill? de sang racheta nostre race.

    C’est un chemin facheux born? de peu d’espace,
    Trac? de peu de gens que la ronce pava,
    O? le chardon poignant ses testes esleva,
    Pren courage pourtant, et ne quitte la place.

    N’appose point la main ? la mansine, apres
    Pour ficher ta charue au milieu des guerets,
    Retournant coup sur coup en arriere ta v?e :

    Il ne faut commencer, ou du tout s’emploier,
    Il ne faut point mener, puis laisser la charue.
    Qui laisse son mestier, n’est digne du loier.
    9
    Mardi 30 Novembre 1999 à 00:00
    jolie image
    10
    Mardi 30 Novembre 1999 à 00:00
    BONNE SOIREE A DEMAIN BIZZZZZZ
    11
    Mardi 30 Novembre 1999 à 00:00
    Bonsoir
    Passe te souhaiter
    Une bonne soir?e
    Et douce nuit
    Bisous
    12
    Mardi 30 Novembre 1999 à 00:00
    Bonne soir?e ? toi :)
    13
    Mardi 30 Novembre 1999 à 00:00
    Quoy mon ame, dors tu engourdie en ta masse
    Pierre de Ronsard
    Quoy mon ame, dors tu engourdie en ta masse ?
    La trompette a sonn?, serre bagage, et va
    Le chemin desert? que Jesuchrist trouva,
    Quand tout mouill? de sang racheta nostre race.

    C’est un chemin facheux born? de peu d’espace,
    Trac? de peu de gens que la ronce pava,
    O? le chardon poignant ses testes esleva,
    Pren courage pourtant, et ne quitte la place.

    N’appose point la main ? la mansine, apres
    Pour ficher ta charue au milieu des guerets,
    Retournant coup sur coup en arriere ta v?e :

    Il ne faut commencer, ou du tout s’emploier,
    Il ne faut point mener, puis laisser la charue.
    Qui laisse son mestier, n’est digne du loier.
    14
    Mardi 30 Novembre 1999 à 00:00
    Quand vous serez bien vieille
    Pierre de Ronsard
    Quand vous serez bien vieille, au soir, ? la chandelle,
    Assise aupr?s du feu, d?vidant et filant,
    Direz, chantant mes vers, en vous ?merveillant :
    Ronsard me c?l?brait du temps que j’?tais belle.

    Lors, vous n’aurez servante oyant telle nouvelle,
    D?j? sous le labeur ? demi sommeillant,
    Qui au bruit de mon nom ne s’aille r?veillant,
    B?nissant votre nom de louange immortelle.

    Je serai sous la terre et fant?me sans os :
    Par les ombres myrteux je prendrai mon repos :
    Vous serez au foyer une vieille accroupie,

    Regrettant mon amour et votre fier d?dain.
    Vivez, si m’en croyez, n’attendez ? demain :
    Cueillez d?s aujourd’hui les roses de la vie.
    15
    Dimanche 31 Janvier 2016 à 20:33
    Quand je suis vingt ou trente mois
    Pierre de Ronsard
    Quand je suis vingt ou trente mois
    Sans retourner en Vandomois,
    Plein de pens?es vagabondes.
    Plein d’un remors et d’un souci.
    Aux rochers je me plains ainsi.
    Aux bois, aux antres, et aux ondes.

    Rochers, bien que soyez ?gez
    De trois mil ans, vous ne changez
    Jamais ny d’estat ny de forme :
    Mais tousjours ma jeunesse fuit.
    Et la vieillesse qui me suit.
    De jeune en vieillard me transforme.

    Bois, bien que perdiez tous les ans
    En l’hyver voz cheveux plaisans,
    L’an d’apr?s qui se renouvelle.
    Renouvelle aussi vostre chef :
    Mais le mien ne peut derechef
    R’avoir sa perruque nouvelle.

    Antres, je me suis veu chez vous
    Avoir jadis verds les genous.
    Le corps habile, et la main bonne :
    Mais ores j’ay le corps plus dur,
    Et les genous, que n’est le mur ?
    Qui froidement vous environne.

    Ondes, sans fin vous promenez.
    Et vous menez et ramenez
    Voz flots d’un cours qui ne s?journe :
    Et moy sans faire long s?jour
    Je m’en vais de nuict et de jour.
    Mais comme vous, je ne retourne.

    Si est-ce que je ne voudrois
    Avoir est? rocher ou bois.
    Pour avoir la peau plus espesse,
    Et veincre le temps emplum? :
    Car ainsi dur je n’eusse aim?
    Toy qui m’as fait vieillir, Maistresse.
    16
    Dimanche 31 Janvier 2016 à 20:43
    superbe blog
    17
    Dimanche 31 Janvier 2016 à 21:14
    Quand je suis vingt ou trente mois
    Pierre de Ronsard
    Quand je suis vingt ou trente mois
    Sans retourner en Vandomois,
    Plein de pens?es vagabondes.
    Plein d’un remors et d’un souci.
    Aux rochers je me plains ainsi.
    Aux bois, aux antres, et aux ondes.

    Rochers, bien que soyez ?gez
    De trois mil ans, vous ne changez
    Jamais ny d’estat ny de forme :
    Mais tousjours ma jeunesse fuit.
    Et la vieillesse qui me suit.
    De jeune en vieillard me transforme.

    Bois, bien que perdiez tous les ans
    En l’hyver voz cheveux plaisans,
    L’an d’apr?s qui se renouvelle.
    Renouvelle aussi vostre chef :
    Mais le mien ne peut derechef
    R’avoir sa perruque nouvelle.

    Antres, je me suis veu chez vous
    Avoir jadis verds les genous.
    Le corps habile, et la main bonne :
    Mais ores j’ay le corps plus dur,
    Et les genous, que n’est le mur ?
    Qui froidement vous environne.

    Ondes, sans fin vous promenez.
    Et vous menez et ramenez
    Voz flots d’un cours qui ne s?journe :
    Et moy sans faire long s?jour
    Je m’en vais de nuict et de jour.
    Mais comme vous, je ne retourne.

    Si est-ce que je ne voudrois
    Avoir est? rocher ou bois.
    Pour avoir la peau plus espesse,
    Et veincre le temps emplum? :
    Car ainsi dur je n’eusse aim?
    Toy qui m’as fait vieillir, Maistresse.
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